Visiter l’Islande en hiver, un coup de poker !

Comme beaucoup de gens, j’avais l’image féerique de paysages recouverts de neige. En revanche, je n’avais pas du tout anticiper le fait d’arriver au tout début d’une chute de neige importante, qui aller ruiner mon voyage sur cette île. Lorsque l’on sait que tout en Islande est extrêmement cher, du billet d’avion jusqu’à l’hôtel et la nourriture, il me semble donc légitime de mettre en garde les personnes souhaitant se rendre sur l’île durant cette période.

 

  • Ce que j’ai aimé :
  • La beauté et grandeur des paysage, les lumières incroyables
  • Les sources d’eau chaude

  • Ce que j’ai moins aimé :
  • Tout coûte extrêmement cher dans l’île
  • le blocage totale de toute l’île en cas de tombée de neige, le verglas dans la ville, aucun déneigement le weekend

 

Que faire en Islande l’hiver ?

Seules trois activités sont uniquement réalisables l’hiver :

– Balade en traineau/motoneige.

– Visite de la grotte de glace.

 

Les activités ci-dessous sont faisables toute l’année :

– Aurores boréales.

– Parc naturel du Golden Circle et ses geysers.

– Cascades de Gullfoss, Seljalandsfoss, Skógafoss, Svartifoss, Goðafoss, Hraunfossar.

– Sources chaudes du Blue Lagoon, Secret Lagoon, Myvatn, Fontana, Krauma.

– Lagune glacière de Jökulsárlón.

– Balade en cheval.

– Randonnée sur les glaciers de Langjökull, Skaftafell.

– Plongée dans les eaux cristallines de la faille Silfra.

– Sortie en bateau pour voir les baleines.

– Exploration des volcans.

– Musées de la capitale.

 

Combien de jours pour visiter l’Islande ?

L’Islande propose énormément d’activités en plein air, il faut lui accorder au minimum une semaine, moins serait vraiment frustrant.
Si vous avez prévu un week-end, cela ne vaut pas le coût/coup ! La destination est très chère et le vol en avion dure 3h40, vous ne profiterez pas de votre court séjour et serez frustré de ne pas avoir vu plus de lieux naturels.

Comment me suis-je organisée ?

J’ai lu des blogs afin de me renseigner sur les activités à faireAssez rapidement dans ma recherche un site est apparu : Guide to Island. Ce site est en fait une marketplace, qui regroupe toutes les activités des tours opérateurs islandais. Leur site est si riche en information que j’ai cru avoir affaire à l’office du tourisme du pays. Devant l’offre importante d’activités, et étant limitée dans mes déplacements sur l’île, j’ai acheté le pack de 5 jours. Le pack comprend : les hôtels et transferts aéroport, le Blue Lagoon, la grotte de glace, les aurores boréales, la balade en cheval, le Golden Circle et les cascades d’eau.

Deux semaines avant le départ, je reçois les documents de voyage et me rends compte qu’il y a une erreur sur mes billets de transfert, je souhaite également changer la date d’une activité. Mon conseiller Guide to Island ne m’a donné aucun signe de vie, pendant plus d’une semaine. Si bien que j’ai dû utiliser le tchat du site, pour faire rectifier l’erreur sur le transfert aéroport.

La neige, le vent, le verglas : combo parfait pour bloquer l’île !

Je suis arrivée le jour où une tempête de neige avait débuté, si la veille il y avait 0 centimètre de neige, il y en avait désormais plusieurs dizaines de centimètres. Une fois que l’avion a atterri sur la piste de l’aéroport, j’ai dû attendre 2h30 avant de pouvoir débarquer, le temps que la piste soit dégagée.

Un transfert en bus attendait à la sortie de l’aéroport, si le trajet s’est bien déroulé, une fois arrivé à la gare routière de la ville, c’était l’apocalypse : les trottoirs et routes étaient invisibles sous la neige et les voitures patinaient… Puis il y avait moi, avec ma valise cabine, en mode warrior sur 30 cm de poudreuse et des rafales de vent. Car oui en Islande les déneigeurs ne travaillent pas le weekend, autant vous dire que venant de Haute-Savoie, j’étais choquée !

 

Île bloquée = activités annulées (et silence radio de la part de Guide to Iceland) !

Ayant des activités le jour-même de mon arrivée (transfert en bus au Blue Lagoon) et sans nouvelles de mon conseiller Guide to Iceland, contacté par mail et téléphone, j’ai dû joindre moi-même le Blue Lagoon et la société de transfert pour décaler mes billets.

Mon activité du lendemain, deux jours dans le sud avec visite de la grotte de glace, a été annulée. Après mon premier jour bloquée à cause de la neige, j’avais donc deux autres jours à m’ennuyer à Reykjavík. Si au départ, je m’interrogeais sur la présence de tant de musées, dans une si petite capitale, j’ai rapidement compris pourquoi. En effet l’Islande étant un pays 100% tourné vers la nature, lorsque les routes de l’île sont bloquées par la neige, il faut des musées pour occuper les milliers de touristes.

L’ambiance dans la ville était bizarre, je voyais les touristes errer dans la ville avec un air dépité. Il faut dire qu’il fallait être motivé pour sortir, le vent était si puissant qu’il fallait parfois se tenir à un poteau, sans oublier le centre-ville, dont les rues étaient certes déneigées, mais toutes verglacées. Heureusement, j’avais des crampons, croyez-moi ce fut le meilleur investissement de mon séjour ! Prendre le bus n’est pas pratique, puisque les chauffeurs n’acceptent le cash que si on a le montant exact du ticket 470 kr (~3€10) le plus “pratique” est donc de télécharger l’application et de payer en ligne à l’avance.

Autre chose m’a surpris : il fait jour de 11h à 16h. Je savais que cela arrivait au nord des pays scandinaves, mais pas en Islande. Le matin, j’avais beaucoup de mal à sortir de mon hôtel, alors qu’il faisait encore nuit à l’extérieur.

Au final je n’ai fait que 2 des 5 activités prévues

Les routes de l’île ont été déneigées au bout du 4e jour. J’ai pu donc partir une journée en excursion, pour visiter l’impressionnante cascade de Gullfoss, faire une balade à cheval. J’ai aussi visité le parc Golden Circle, avec ses fameux geysers (aucune colonne d’eau à l’horizon, seulement quelques fumées) la poisse jusqu’au bout  et enfin la visite, en 30 min express, du parc de Thingvellir, où se rencontrent les plaques tectoniques nord américaine et eurasiatique. Une plateforme en hauteur, située juste devant le parking des bus, offre une vue à 360 sur un panorama incroyable.

Les aurores boréales : mythe vs réalité

Mythe n°1 : l’hiver est la meilleure saison pour voir les aurores.

La période des aurores va de septembre à avril. Pour les apercevoir, il faut impérativement un ciel non nuageux et une obscurité totale. Selon le musée des aurores à Reykjavík, les meilleurs mois sont : mars, septembre, octobre.

Mythe n°2 : On peut admirer les aurores à l’oeil nu.

L’œil humain n’est pas assez performant pour détecter l’éclat des aurores. La seule chose que vous verrez ce sont des trainées vertes très très pâles, d’où l’obscurité totale requise, car avec la moindre petite lumière, même à des kilomètres, vous ne verrez rien du tout !

Seul l’appareil photo peut révéler les aurores boréales. Dire que je pensais admirer de mes propres yeux un phénomène naturel exceptionnel… Quelle déception ! Enfin, si vous espérez voir un ciel couvert d’aurores boréales, comme sur les photos de tours opérateurs, et bien d’après mon guide cela arrive très rarement. J’avais espoir de voir quelques aurores, mais à la place, j’ai vu une vieille trainée verte, toute faiblarde et au ras des collines.

Avec ces deux mythes démontés, vous imaginez ma très grosse déception. Évidemment on ne commande pas la nature, mais au prix de l’excursion (118€), ça fait cher la déception. Si vous souhaitez partir en exploration, évitez l’agence David the Guide. En comparant l’excursion avec une autre, effectuée le même soir par une française rencontrée sur place, ce n’était pas du tout la même qualité de service.

Le Blue Lagoon, mon avis

Ma plus belle expérience ! j’y suis restée toute la journée, c’est dire si j’ai profité. D’ailleurs je vous recommande de venir à l’ouverture, afin de profiter du calme des lieux (l’hiver, il fait encore nuit à 9h du matin, ambiance intimiste assurée !). Le Blue Lagoon se situe à proximité de l’aéroport, beaucoup de personnes y restent donc deux heures, avant de prendre leur avion. Personnellement je trouve ça trop peu, pourtant je n’aime pas prendre des bains en temps normal (#teamdouche). Sauf que quand la baignoire est une gigantesque source d’eau chaude, où t’attend des masques pour le visage et un verre gratuit, dur dur de partir. Pensez à prendre des tongs car elles ne sont pas fournies, je recommande aussi de prendre le pass confort, avec le peignoir inclut (qu’on vous volera une fois que vous serez dans le bain extérieur, à vous d’en voler un autre discrètement en sortant).

La grotte de glace : est-ce que ce lieu se visite vraiment ?

La page de l’activité sur le site Guide to Iceland affichait les avis. Presque tous mentionnaient que l’activité avait été remplacée, au dernier moment, par une randonnée sur un glacier.  Je me demande qui sont les rares chanceux à pouvoir y entrer.

La saison que je recommande pour visiter l’Islande

Evidemment les paysages recouverts de neige sont fabuleux, seulement la garantie de les voir n’est pas assurée si il y a une tempête de neige, comme ce fut le cas pour moi. Sachant que 97 % des activités sont faisables en dehors de l’hiver, l’équation est donc assez simple. C’est vraiment rageant de payer 400€ pour un vol (réservé 5 mois à l’avance), 70€ dans un restaurant (un plat, un dessert et une boisson) et 150€ la nuit d’hôtel, pour qu’au final, je me retrouve à faire les musées de la ville, à 20 ou 40€ le ticket. D’autant que je peux très bien les faire en été et non en mode bibendum, avec quatre couches sur le dos.

Je recommande de visiter l’île au début du printemps ou en automne. Les températures y sont clémentes et il est possible de faire des randonnées. De plus, il n’y a pas autant de touristes qu’en été ou en hiver.

Quelques conseils pour visiter l’Islande en hiver

Si mon article ne vous a pas fait changer d’avis, voici quelques conseils :

Partez plutôt en début d’année, vous éviterez les premières neiges de décembre, qui mettent l’île en panique. De plus il y a 1h de jour en plus qu’en décembre, pas mal pour profiter plus longtemps des activités.

– L’idéal est de louer une voiture, elle vous donnera la liberté et flexibilité d’aller où vous voulez, en fonction de la météo.

Ne prenez pas une valise, même cabine, comme les trottoirs ne sont pas déneigés le weekend c’est l’enfet. Prenez plutôt un sac de randonnée.

Réservez vos activités directement via les compagnies d’excursions, non via Guide to Iceland.

Accordez-vous un jour de répit après certaines activités. En effet, les activités commencent vers 7h30 et se terminent tard vers 19h. Les longs trajets d’un site à l’autre et le vent/froid fatiguent beaucoup. De même, ne réservez pas les aurores boréales le jour où vous avez une excursion en journée. Le bus des aurores passe à 20h30 et revient vers minuit, votre journée sera trop chargée si vous avez déjà eu une activité avant.

Si vous logez à Reykjavík, prévoyez un hôtel à proximité d’un arrêt de bus “excursions“. Si auparavant les bus s’arrêtaient devant chaque hôtel, la mairie a désormais imposé 14 arrêts “excursions” dans la ville, les bus doivent s’y arrêter pour prendre les touristes. Loger à côté est donc beaucoup plus pratique. Vous trouverez la liste des arrêts ici.

Une fois à l’arrêt “excursion”, soyez prêts à stresser devant le flux important de mini-bus et gros bus, venant chercher chaque groupe de touristes en moins de 5 minutes. Certains bus ne contiennent pas de logo indiquant le nom de la société, sans compter l’obscurité matinale qui ne facilite rien. Si les guides épellent les noms des personnes qu’ils prennent, il faut à chaque fois courir d’un bus à l’autre pour espérer entendre son prénom, ou abréger l’attente en demandant quelle est l’activité concernée.

Pour les navettes vers et depuis votre hôtel, il y a obligatoirement un changement à la station de bus de la ville. Faites donc attention, car le jour de votre départ, le mini-bus qui viendra vous chercher n’est pas celui indiqué sur votre bon. Par exemple pour moi, ce fut le mini-bus touristique “Reykyavik Excursions” qui est venu me chercher à l’arrêt, il m’a ensuite déposé à la station de bus, où j’ai pris un gros bus “Flybus” qui est bien celui indiqué sur mon bon. Il faut donc être vigilant et s’approcher de chaque bus arrivant à votre arrêt, afin d’entendre votre prénom.

Mes activités sont annulées, quels musées visiter à Reykjavík ?

Je vous l’avais dit de ne pas partir en hiver ! (Appelez-moi Madame je-sais-tout, j’adore ça !)
Maintenant que vous n’avez que vos yeux pour pleurer, et votre portefeuille pour tuer le temps, direction les musées !

J’ai fait ceux étant les plus accessibles dans le centre. Le musée phare de la ville, le Perlan, ainsi que le musée national d’Islande, n’en font pas partie, car isolés à 30 min à pied du centre (on repense aux rues verglacées, aux rafales de vent, aux bus pas pratiques et on oublie l’idée d’y aller).

Je recommande le musée Lava qui est unique en son genre. Le ticket est cher (40€) mais l’expérience de voir de la lave réelle couler en face de soi (et sentir la température de la salle augmenter d’un coup) est tout simplement incroyable ! Cette lave, sous sa forme froide de basalte, a été récupérée lors de l’éruption d’un des nombreux volcans de l’île. Chauffé à 13 000°C, le basalte se transforme en lave et peut être réutilisé à l’infini. L’animateur manipule la lave avec une canne en métal et répond à toutes les questions des visiteurs.

Le musée Aurora (17€) permet de comprendre la formation des aurores boréales ainsi que les mythes qui les entourent. Une salle projette sur un écran les magnifiques aurores que vous ne verrez jamais par vous-même en Islande (je suis mauvaise langue, mais bon laissez-moi ventiler ma déception).

Le musée Fly Over (35€) a été une déception : il s’agit d’une expérience immersive au sein des paysages de l’Islande au fil des saisons. On monte sur des sièges, enfilent des casque de réalité virtuelle et les sièges nous transportent pendant 10 min dans les airs, comme si nous étions dans un avion touristique. La sensation va jusqu’à recevoir des vapeurs d’eau dans la figure, lorsque nous nous approchons des cascades d’eau (on oublie le make-up ce jour-là les filles) . Si la sensation de voler est réelle, en revanche, la qualité de la réalité virtuelle est franchement moyenne, avec des paysages flous et des transitions trop brutales entre chaque paysage.

Le musée des Sagas (20€) nous emmène à la rencontre des premiers vikings. Les figurines de cire décrivent des moments clés de ces personnages, qui font la légende de l’île. Ce musée se visite en 30 min, l’audioguide fournit rend l’expérience assez ludique, pour qui n’aime pas les musées.

Le Settlement Exhibition (17€) est construit autour des vestiges (partiellement visibles) d’une des premières habitations de l’île. Ce musée, très ludique avec ses écrans panoramiques et tactiles, nous expliquent le mode de vie sur l’île, des premiers arrivants jusqu’à l’époque moderne.

Comment se vêtir pour voyager en Islande l’hiver ?

En lisant des blogs, j’avais souvent vu le terme “des 3 couches“. Cette technique consiste à porter un sous-pull thermique, suivi d’une polaire et d’un mentaux coupe vent/déperlant. Étant très frileuse, j’ai opté pour la technique ultime des 4 couches en hauts et en bas.

Haut du corps :

– Un sous-pull thermique Uniqlo (30€).
– Un pull normal de ma penderie.
– Une polaire Décathlon (45€).
– Une doudoune en sherpa Superdry de ma penderie.

J’avais aussi un tour de cou en sherpa Superdy (34€), une chapka Décathlon (12€, je ne recommande pas), des sous-gants tactiles Décathlon (12€, je ne recommande pas) et des gants tactiles Uniqlo (12€)

Bas du corps :
– Un legging normal H&M.
– Un legging thermique Uniqlo (30€).
– Un pantalon normal de ma penderie.
– Un surpantalon imperméable de chez Décathlon (15€).

Pour les pieds, j’avais acheté des chaussettes en mérinos Uniqlo (15€ le lot de 2). J’ai aussi trouvé une paire de chaussures de montagnes Décathlon (65€), légèrement montantes pour éviter la neige. Ces chaussures ont été tellement chaudes, que j’ai pu me contenter de chaussettes normales H&M.

Divers.
– Une pochette pour protéger mon portable de l’eau (10€).
– Des crampons pour chaussures (10€).

Comme vous pouvez le constater, le coût de cet équipement (385€ au total) est souvent négligé, pourtant c’est quasiment le coût de mon vol !

>—- Les infos clés avant de partir en Islande —-<

 

Comment se rendre en Islande ?

  • l’Islande possède cinq aéroports, mais seul un est international : l’aéroport international de Keflavík. Un vol Paris-Reykyavik dure 3h40.
  • Depuis l’aéroport, un bus fait la liaison en 45 min jusqu’à la station de bus de Reykyavik. La station de bus se trouve à 15 min du centre, si en été il est faisable de faire le trajet à pied, l’hiver il est recommandé de prendre un mini-bus pour rejoindre son hôtel directement. Il faut par contre se rendre au bureau d’information de la station, afin de savoir quel bus se rend à son hôtel, car rien ne l’indique. (Sur ce point précis de transport entre l’aéroport et l’hôtel, l’Islande est le pays le moins pratique d’Europe).

Combien de temps pour visiter l’Islande ?

  • Pour un aperçu de l’île : 6 jours.
  • Pour ne rien louper : 10 jours.

Les gens parlent-ils anglais ?

  • Oui partout.

Est-ce que l’Islande est une île dangereuse ?

  • Non, le pays a l’un des taux de criminalité les plus bas d’Europe.

Quelle est la devise et puis-je payer par CB ?

  • La CB est très utilisée dans le pays, il n’est pas recommandé de retirer du cash.
  • La devise est la couronne islandaise.
  • Niveau prix l’Islande est le pays le plus cher d’Europe : un repas (plat, dessert, 2 boissons) coûte en moyenne 70€ dans un restaurant. Je conseille de dîner pendant l’happy hour, qui permettra de bénéficier des boissons à moitié prix (c’est toujours ça de gagner).

Que manger ?

Contrairement à ce que j’ai pu lire sur beaucoup de blogs, on mange bien en Islande.

  • Du poisson : omble chevalier, aiglefin, flétan ou morue, en filet, soupes ou en fish & chips.
  • Hákarl (du requin fermenté sentant l’ammoniaque).
  • De la viande : agneau, hot dog (non c’est pas une blague).
  • En dessert : du skyr avec du coulis de fruits ou des kleinas (pâtes frites similaires à nos bugnes).

Autre chose ?

  • Les prises sont les mêmes que celles en France.
  • Par rapport à l’heure française, il y a une heure en moins en Islande.

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